La presse électronique marocaine "se met en deuil" en protestation contre les dérapages des médias espagnols
La Ligue marocaine de la presse électronique a décrété un deuil durant une semaine en signe de protestation contre la manière inique dont la presse espagnole a assuré la couverture des événements de Laâyoune.La surenchère et les déviations dans lesquelles est tombée la presse espagnole à l'occasion du démantèlement du campement Gdim Izik vont à l'encontre de la déontologie de la presse, déplore la Ligue dans un communiqué parvenu mardi à la MAP .
Regrettant que certains organes de presse espagnols aient persisté dans l'affabulation en publiant les noms de prétendues victimes civiles dont ils ont imputé la mort aux forces de l'ordre marocaines, alors même que ces "morts- vivants" ont, de vive voix, dénoncé cette supercherie, la Ligue souligne que "nous aurions souhaité que ces médias fassent amende honorable et renoncent à leur entreprise de falsification et de manipulation, par respect de l'objectivité que commande la déontologie de la profession".
La confirmation par "Human Rights watch" du bilan annoncé par les autorités marocaines de 13 morts (11 agents des forces de l'ordre et deux civils), a jeté une lumière crue sur la fausseté des informations publiées par certains organes de la presse espagnole dans le cadre de leur couverture des événements de Laâyoune, précise ce communiqué.
La Ligue marocaine de la presse électronique propose l'organisation d'une "caravane de la vérité" en direction de la ville de Laâyoune avec la participation de journalistes, d'acteurs associatifs et de militants des droits de l'homme des différentes villes du Maroc et appelle "les experts, les analystes politiques, économiques et sociologues à l'intérieur et à l'extérieur du Maroc à enquêter sur les tenants et aboutissants de cette campagne de désinformation espagnole" et révéler les ressorts qui la sous-tendent, sans s'arrêter au niveau du constat.
Un appel a également été lancé aux "consciences vives" opérant au sein de la presse marocaine et algérienne pour s'abstenir de réflexes réactifs allant dans le sens d'une extrapolation politique des événements. (MAP)
Regrettant que certains organes de presse espagnols aient persisté dans l'affabulation en publiant les noms de prétendues victimes civiles dont ils ont imputé la mort aux forces de l'ordre marocaines, alors même que ces "morts- vivants" ont, de vive voix, dénoncé cette supercherie, la Ligue souligne que "nous aurions souhaité que ces médias fassent amende honorable et renoncent à leur entreprise de falsification et de manipulation, par respect de l'objectivité que commande la déontologie de la profession".
La confirmation par "Human Rights watch" du bilan annoncé par les autorités marocaines de 13 morts (11 agents des forces de l'ordre et deux civils), a jeté une lumière crue sur la fausseté des informations publiées par certains organes de la presse espagnole dans le cadre de leur couverture des événements de Laâyoune, précise ce communiqué.
La Ligue marocaine de la presse électronique propose l'organisation d'une "caravane de la vérité" en direction de la ville de Laâyoune avec la participation de journalistes, d'acteurs associatifs et de militants des droits de l'homme des différentes villes du Maroc et appelle "les experts, les analystes politiques, économiques et sociologues à l'intérieur et à l'extérieur du Maroc à enquêter sur les tenants et aboutissants de cette campagne de désinformation espagnole" et révéler les ressorts qui la sous-tendent, sans s'arrêter au niveau du constat.
Un appel a également été lancé aux "consciences vives" opérant au sein de la presse marocaine et algérienne pour s'abstenir de réflexes réactifs allant dans le sens d'une extrapolation politique des événements. (MAP)
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